• Gard : Confusion et controverse dans le procès de sept braqueurs. Les avocats avaient demandé un renvoi refusé par le président [1][3]. La bâtonnière a alors interdit à tous de défendre leurs clients, ce qui a provoqué l’indignation [2][4][5]. Les accusés ont finalement été reconnus coupables de home-jackings et de braquages et condamnés à des peines allant de cinq ans de prison à la réclusion criminelle à perpétuité [6].
  • Loiret : Un ex-militaire accusé d’avoir braqué et violé des prostituées [1]. Il avait d’abord souhaité partir combattre Daech en Syrie. [2] Il nie les accusations de viol mais admet avoir braqué des prostituées. [3] Il a été condamné à douze ans de réclusion criminelle
  • Marne : Les témoignages ont révélé des graves comportements de l’accusé qui répondu qu’il avait été payé pour “faire peur” [1]. Un témoignage encore plus troublant d’une victime “humiliée” par l’accusé qui a “voulu tout effacer” [2]. Les détails précis de l’affaire n’ont pas été divulgués.
  • Tarn : Un homme a été condamné à 16 ans de réclusion criminelle pour viols et violences aggravées [3]. Par des témoignages poignants, les deux victimes ont raconté leur calvaire, forcée à la prostitution et soumise à des violences physiques et psychologiques, et de l’horreur subie, « pires que celles infligées à un animal [1][2]. Ces témoignages émouvants ont été cruciaux pour permettre la condamnation de l’accusé.
  • Landes : Un homme de 49 ans a été jugé pour le viol de sa compagne et de sa maîtresse. Sa compagne a découvert sa liaison avec une autre femme, également victime de violences sexuelles. Leurs témoignages ont été accablants pour l’accusé, qui a tenté de minimiser ses actes et de rejeter la faute sur les victimes. Le jury a finalement condamné l’accusé à 14 ans de prison ferme [[1][2]].

Une autre affaire, celle-ci de meurtre au couteau [1] : Une femme est accusée d’avoir tué son conjoint en le poignardant à plusieurs reprises dans leur appartement. Le couple avait une relation tumultueuse et l’accusée soutient avoir agi en état de légitime défense. Elle avait appelé les secours après les faits, avant de se rendre à la police. La victime est décédée peu après son arrivée à l’hôpital. L’enquête a révélé qu’elle avait déjà été victime de violences de la part de son conjoint. [2] Légitime défense ou si elle a commis un acte criminel intentionnel.

  • Haute-Garonne : Un homme a été jugé pour avoir tué son amant d’un soir avec plus de 40 coups de couteau [1]. Déjà condamné pour des faits de violence, il était en liberté conditionnelle au moment du meurtre L’accusé, qui avait consommé des drogues et avait eu des relations sexuelles avec la victime, a affirmé ne pas se souvenir de ce qui s’était passé [2]. L’avocat général a requis la réclusion criminelle à perpétuité  [3]. L’accusé a été condamné à 30 ans de réclusion criminelle  [4][5]. 
  • Charente : Le meurtre d’un jeune handicapé. Les accusés sont membres d’un “clan familial”. Le corps de la victime n’a jamais été retrouvé. Un procès “hors-norme” [1], notamment en raison de l’importance de l’enquête policière qui a duré plusieurs années. L’émotion était forte avec les témoignages poignants de la famille et des proches de la victime [2]. Les accusés sont décrits comme [3] et les débats s’annoncent tendus.
  • Essonne :Un homme accusé d’avoir frappé sa nièce d’un coup de hache en pleine rue. La victime, âgée de 18 ans, a été gravement blessée lors de l’attaque. L’accusé a affirmé que sa nièce lui avait manqué de respect et qu’il avait agi sous le coup de la colère[1]. L’homme a été condamné à 12 ans de réclusion criminelle pour avoir tenté de l’assassiner[3][4].
  • Un autre homme est accusé d’avoir violé une adolescente dans une cave. L’accusé, âgé de 35 ans, est soupçonné d’avoir abusé de la victime alors qu’elle n’avait que 14 ans. Il aurait rencontré la jeune fille sur les réseaux sociaux. Les faits auraient duré plusieurs heures. [1]
  • Val d’Oise : [1, 2, 3]. Plusieurs accusés jugés pour proxénétisme ont été condamnés à des peines allant jusqu’à 13 et 18 ans de réclusion criminelle. L’un des accusés a déclaré que « nous étions sérieux dans le travail » [1]. Les charges comprenaient des accusations de traite des êtres humains, d’exploitation de mineurs et de violences physiques [2]. Les peines sévères soulignent la gravité de ces crimes.
  • Bas-Rhin : un homme a été condamné à 25 ans de prison pour le meurtre de sa petite amie qu’il avait poignardé à mort après avoir découvert qu’elle avait une relation avec un autre homme. Il avait tenté de faire passer sa mort pour un suicide en laissant un faux message sur son téléphone portable, mais il a finalement avoué le meurtre [1]. [2].
  • Pas de Calais : Une famille, accusée de viols et actes de barbarie sur des membres de leur familles [1]. se déroule à huis clos pour protéger l’identité des victimes [3]. Les profils des accusés ont été déroulés et les familles des victimes sont attendues pour témoigner [5].  Sept personnes sont accusés de viols, actes de torture et de barbarie, notamment femmes et enfants, sur plusieurs années [1], dans “la maison des horreurs”, où les victimes auraient été retenues prisonnières et soumises à des sévices physiques et sexuels [4]. Ce procès devrait durer sept jours et s’annonce difficile pour les parties prenantes [1]. Les accusés risquent la réclusion à perpétuité s’ils sont reconnus coupables [1].
  • Somme : Le braquage du casino de Cayeux-sur-Mer par cinq membres du “clan Faller”, accusés [1] d’avoir volé plus de 100 000 euros en liquide et mis la main sur des jetons et des objets de valeur. Association de malfaiteurs, vol en bande organisée, violence avec arme, prise d’otage et tentative d’homicide volontaire. Certains nient leur implication tandis que d’autres ont admis leur participation mais tentent de minimiser leur rôle. [2], le procès est marqué par les échanges tendus entre les avocats de la défense et les parties civiles, notamment en ce qui concerne le traitement des témoins. [3]. Le verdict sera bientôt connu.
  • Rhône : Les deux accusés, âgés de 32 et 35 ans, ont été reconnus coupables de viols et de séquestration par la cour d’assises du Rhône [1] et condamnés à des peines de 10 et 20 ans de prison [1], respectivement. Les deux hommes ont séquestré et violé deux femmes dans un bar à chicha de la banlieue lyonnaise. Les victimes avaient été contraintes de boire de l’alcool et de prendre de la drogue avant d’être violées. Les accusés ont nié les faits, affirmant que les relations sexuelles étaient consenties [2][3].
  • Isère :Un sexagénaire,  jugé en appel pour le meurtre de sa femme [1] a été condamné à 25 ans de réclusion criminelle comme lors de lors de son premier procès. Il avait poignardé sa femme de 8 coups de couteau dans la cuisine de leur domicile. Selon les témoignages, la situation était connue de tous et la mort de la victime était annoncée. La famille fracturée car les proches du meurtrier ont témoigné en sa faveur, tandis que les parents de la victime ont témoigné de leur douleur causée par ce crime. [4].
  • Un homme également jugé pour le meurtre de son voisin, a été acquitté après avoir été détenu pendant deux ans dans l’attente de son procès. [3]
  • Paris : Le meurtre de “Boubou”, 22 ans, survenu lors d’une rixe entre bandes dans le 18ème arrondissement de Paris. Le principal suspect, arrêté en Espagne, a été acquitté faute de preuves suffisantes [1]. Le procès avait été précédé d’un long travail d’investigation par la police pour tenter d’identifier les membres des deux bandes impliquées dans cette violente altercation [1][2].
  • Orne :  [1] Un homme poursuivi pour coups mortels a été condamné à 10 ans de prison pour avoir porté des coups mortels à la victime, un ami qui avait pris sa défense lors d’une altercation avec un tiers.
  • [2] Deux hommes inscrits dans un programme de désintoxication à l’Établissement Public pour l’Insertion et la Désintoxication d’Alençon (EPIDE) sont jugés pour viol dans l’école. Ils auraient violé une femme en état d’ébriété alors qu’elle dormait sur le sol. [3] L’un est condamné à 12 ans de prison, l’autre a été acquitté.  [4] La victime a décrit les violences sexuelles subies lors de la nuit en question.
  • ET ENCORE
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