publié le 20/06/2009 10:00
Lors d’une réunion des ministres européens de la Justice, le 5 juin, la France a soutenu la proposition finlandaise d’évoquer avec la Russie, au niveau de l’Union européenne, les cas d’enlèvements d’enfants de couples binationaux. A Paris, l’affaire Elise a défrayé la chronique (la petite Franco-Russe, âgée de 3 ans, a été enlevée le 20 mars dernier à Arles). Ces jours-ci, c’est au tour de Helsinki d’être confronté à un cas semblable. Avec une complication : Anton,5 ans, a été exfiltré de Russie, où sa mère l’avait emmené, il y a un an, dans le coffre de la voiture diplomatique d’un agent consulaire finlandais. Moscou a déclaré ce dernier persona non grata.
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