NOUVELOBS.COM | Ils étaient accusés d’une erreur de diagnostic ayant entraîné la mort d’une patiente de 33 ans en 2000.
Les médecins ont privilégié l’hypothèse d’une pathologie cardique (Sipa)
Les trois médecins et le radiologue de l’hôpital Ambroise-Paré de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), accusés d’une erreur de diagnostic fautive fatale à une patiente morte en 2000, à l’âge de 33 ans, ont été relaxés vendredi 3 juillet par le tribunal de Nanterre.
Accusés d’homicide involontaire, les quatre prévenus étaient poursuivis pour avoir privilégié l’hypothèse d’une pathologie cardiaque chez la patiente, hospitalisée le 15 novembre 2000 et décédée d’une rupture d’anévrisme six jours plus tard. Le parquet de Nanterre avait requis des peines de prison avec sursis à l’encontre des trois médecins
Admise en réanimation après un malaise sur son lieu de travail, la jeune femme était sortie du coma deux jours après son hospitalisation, en se plaignant de violents maux de tête.
Soumise à un scanner cérébral jugé normal et à une ponction lombaire aux résultats considérés comme non concluants, elle avait été transférée en cardiologie la veille de son décès.
Au cours du procès, les médecins se sont défendus en expliquant que la victime présentait de réels symptômes d’une défaillance cardiaque, ce que n’ont pas nié les experts.
(nouvelobs.com, avec AFP)
Accusés d’homicide involontaire, les quatre prévenus étaient poursuivis pour avoir privilégié l’hypothèse d’une pathologie cardiaque chez la patiente, hospitalisée le 15 novembre 2000 et décédée d’une rupture d’anévrisme six jours plus tard. Le parquet de Nanterre avait requis des peines de prison avec sursis à l’encontre des trois médecins
Admise en réanimation après un malaise sur son lieu de travail, la jeune femme était sortie du coma deux jours après son hospitalisation, en se plaignant de violents maux de tête.
Soumise à un scanner cérébral jugé normal et à une ponction lombaire aux résultats considérés comme non concluants, elle avait été transférée en cardiologie la veille de son décès.
Au cours du procès, les médecins se sont défendus en expliquant que la victime présentait de réels symptômes d’une défaillance cardiaque, ce que n’ont pas nié les experts.
(nouvelobs.com, avec AFP)
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