Le glaive n’aura pas eu à trancher.

Le procès entamé en juin 2008 s’est achevé avec une proposition que la Paramount n’a manifestement pas pu refuser, tant il est vrai que se réveiller quotidiennement avec une tête de cheval tranchée dans son lit donne à réfléchir sur son sort…

Dans les faits, le livre de Mario Puzo, The Godfather, qui avait inspiré des films et un jeu vidéo, liait les ayants droit de l’auteur à la Paramount, qui aurait omis de reverser une part significative des revenus générés par toute adaptation basée sur le livre. Une obligation contractuelle qui liait les deux parties depuis 1992…

Et finalement, Anthony Puzo, qui réclamait alors 1 million $ d’arriérés, a obtenu gain de cause pour le jeu vidéo The Godfather : the Game, sorti en 2006. Une fin heureuse, estime l’avocat de l’ayant droit, d’autant qu’il s’agit là d’une oeuvre à partir de laquelle fut réalisé l’un des films les plus admirés, réalisé par Francis Ford Coppola.

L’opposition entre les deux parties s’est ainsi réglée à l’amiable sans que l’on ne sache comment. Ça sent les chaussures coulées dans le béton, ça…

Rédigé par Nicolas.G, le samedi 07 février 2009 à 10h12

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