• les syndicats reprochent à la direction d’avoir mis en danger la vie des salariés en continuant à exploiter le magasin, fermé pour vétusté en 2005. Les dirigeants de la Samaritaine ayant été relaxés en première instance, leur condamnation, si elle intervenait, ne serait que civile.
0 réponses

Laisser un commentaire

Participez-vous à la discussion?
N'hésitez pas à contribuer!

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.