Articles

Par staragora
Le procès de Chris Brown s’est tenu hier au tribunal de Los Angeles, où il devrait affronter son sort après avoir sauvagement agressé la chanteuse Rihanna.

Rihanna qui n’était pas présente au procès, vu qu’elle n’a pas porté plainte contre son petit chéri était représentée par maître Donald Etra, célèbre pour avoir sauvé plus d’une fois les miches de Snoop Dogg à ses nombreux procès.

Au cours de ce procès éclair, vu qu’il n’a duré que 4 minutes et 20 secondes, Chris Brown n’a dit que 4 mots, laissant son avocat se dépatouiller dans cette affaire.

Le gros du procès a été une demande du report du procès pour des raisons encore  obscures et une demande de “désistement” de la part de Chris Brown.

En gros, il donne les pleins pouvoirs à son avocat pour la suite des événements et n’aura donc pas l’obligation de se présenter au prochain procès, qui a été reporté au 6 avril prochain.

Par ailleurs, l’avocat de Christopher Brown réclame une audience publique pour son client. Autant le guillotiné sur la place du village ça ira plus vite.

Drôle d’idée mais surtout drôle d’avocat puisque celui-ci s’est quand même pointé au procès sans stylo pour signer les formulaires qu’il devait présenter au juge. Autant dire que c’est mal barré pour Chris.

Finalement, on ne retiendra pas grand chose de cette courte audience : Chris Brown muet comme une carpe aura quand même ouvert la bouche 4 fois pour dire “oui” et “oui madame”, l’avocat n’avait pas son matériel scolaire, le procès est reporté au mois prochain et cerise sur le gâteau, Chris Brown a interdiction de contacter Rihanna.

Enfin ça c’est ce que la juge lui a dit avant qu’il s’en aille mais l’avocat de Riri est vite intervenu pour dire que sa cliente n’avait pas fait cette demande particulière.

En gros, elle ne porte pas plainte et en plus elle veut continuer à voir son petit amoureux alors qu’il y a une enquête en cours.

Si ça c’est pas un show à l’américaine, on ne sait pas ce que c’est.

Staragora.com

Ah, j’oubliais…”, c’était la réplique fétiche de Columbo ! Avant de quitter chaque pièce, le célèbre inspecteur revenait sur ses pas en se frottant le front… Malheureusement la fiction a déteint sur la réalité, car à 81 ans, Peter Falk, l’acteur interprète de l’inspecteur à l’imperméable, souffre aujourd’hui de la maladie d’Alzheimer.

Celui qui a interprété le lieutenant Columbo plus de soixante-dix fois, avait été notamment trouvé errant seul à Beverly Hills, il y a quelques mois.

En décembre dernier, sa fille adoptive, Catherine Falk, avait déposé un dossier auprès de la Cour affirmant que son père souffrait de démence et ne pouvait plus se gérer au quotidien. Cette dernière avait alors demandé une mise sous curatelle de son cher papa.

Shera, seconde femme de l’acteur avec laquelle il est marié depuis plus de trente-deux ans, s’était alors battue pour que son époux reste vivre avec elle.

Le juge a finalement rendu sa conclusion devant la Cour supérieure de Los Angeles… Après avoir rencontré Peter Falk, lui-même, dans son domicile à Beverly Hills, celui-ci déclare que l’acteur est “bien habillé, propre et en forme”.

Aux dires du juge Clark R. Byam, le légendaire Columbo n’a pas besoin d’être placé, et peut continuer à vivre dans son “home sweet home” avec sa femme. Cette dernière a également obtenu l’autorisation de continuer à contrôler les affaires de son inspecteur de mari.

Une bonne nouvelle pour les époux… une moins bonne pour la fille ! D’ailleurs, protection de son bien-aimé père, ou protection vénale de son héritage plutôt… coquet ?

Seul Columbo, pourrait résoudre cette affaire ambigüe…

Chloé Breen

NOUVELOBS.COM | 17.02.2009 | 19:05

L’ancien entraîneur de Laure Manaudou a été condamné en appel à 2.000 euros d’amende pour une attaque à connotation sexuelle envers des journalistes du quotidien sportif L’Equipe.

Philippe Lucas (Sipa)

Philippe Lucas (Sipa)

La cour d’appel de Versailles a condamné mardi 17 février à 2000 euros d’amende dont 1000 euros avec sursis l’ex-entraîneur de la championne de natation Laure Manaudou, Philippe Lucas, pour “injure publique” à l’égard du quotidien sportif l’Equipe, a-t-on appris de source judiciaire.
Cet arrêt confirme la décision de première instance du tribunal de Nanterre rendue en juin qui avait condamné Philippe Lucas à 2000 euros d’amende.

“La voix de la fédé”

Dans une interview publiée en décembre 2007 par le magazine masculin FHM, Philippe Lucas était notamment interrogé sur ses relations avec les médias: “Vous qui avez sorti la natation de son anonymat, vous vous dites maltraité par la presse ?”, lui demandait-on.
L’entraîneur répondait: “Je dis pas ça pour les Guignols (de l’Info). Ni pour la presse généraliste. Mais L’Equipe, comme ils ne veulent pas se fâcher avec leur source d’infos, c’est la voix de la fédé (Fédération française de natation, ndrl)”.
S’ensuivait une attaque à connotation sexuelle sur les journalistes du quotidien, jugée injurieuse par la cour d’appel de Versailles.

En juin 2008, Jimmy Hornec, 32 ans, qui est un cousin des “parrains” présumés du milieu parisien, avait été condamné à sept ans de prison dans le cadre du procès, un mois plus tôt, de plusieurs membres de cette famille pour association de malfaiteurs, au Tribunal correctionnel d’Amiens.

Comme il était en cavale au moment de ce procès, la condamnation avait été donnée par défaut. Depuis, il a été arrêté par les services de police en novembre 2008, à Noisy-Le-Sec.

Etant considéré par l’accusation comme le vrai responsable du vol  et de la tentative de vol avec violences de voitures sur l’autoroute, dont celle de l’acteur, réalisateur et humoriste Dany Boon en 2002, il a été rejugé, en sa présence cette fois dans le box, vendredi 13 février.

Il était personnellement poursuivi pour avoir, entre autres, tenté de voler le 20 mars 2002 sur l’autoroute A1 dans le sens Lille-Paris la Mercedes du comédien. Dany Boon rentrait ce soir-là à Paris après un gala à Lille, son régisseur au volant de sa voiture, et lui sur la banquette arrière avec son chien.

Suivi par un véhicule équipé d’un gyrophare comme les voitures de police, le régisseur avait arrêté la voiture sur la bande d’arrêt d’urgence, pensant à un contrôle. Il est sommé de présenter les papiers à ce qui s’avérera être de faux policiers, lsquels tentent de s’emparer de la Mercedes. Dany Boon qui ne veut pas qu’on emporte son chien, s’interpose et reçoit un coup au visage. Les voleurs partent avec la voiture, mais cette dernière, équipée d’un système sophistiqué d’antivol s’arrêtera quelques mètres plus loin.

Jimmy Hornec a été formellement reconnu tant par Dany Boon que par son régisseur, alors que l’homme n’a pas cessé de clamer son innoncence.

Le procureur a requis une peine de cinq à six ans de prison ferme contre le présumé agresseur. Le tribunal a mis son jugement en délibéré au 10 mars. Cette affaire a longtemps pertubé l’acteur.

Geneviève de Fontenay, présidente du comité Miss France, a comparu au tribunal de Marseille pour “injure publique” à l’encontre de Luce Auger, éphémère Miss France 1961.

Le procès porte sur une lettre publiée le 4 avril 2008 sur le site internet du journal suisse Le Matin où Geneviève de Fontenay décrivait la plaignante comme “une salope, une perverse, une méchante”.

Luce Auger réclame 50.000 euros de dommages et intérêts à Geneviève de Fontenay et à Théo Bouchard, directeur de la publication du quotidien suisse.

Dans une lettre ouverte envoyée à l’Association Internationale des Concours de Beauté Francophone, Luce Auger avait mis en cause Geneviève de Fontenay et son mari, décédé en 1981. Selon elle, le couple de Fontenay faisait poser en sa présence les candidates les seins nus pour des photos quelques jours avant l’élection nationale. Luce Auger apportait ainsi son soutien à Valérie Bègue, Miss France 2008, désavouée par Geneviève de Fontenay après la publication de photos de nu.

Luce Auger, aujourd’hui âgée de 74 ans, avait été Miss France 1961 durant cinq semaines. Enceinte, elle avait été destituée au profit de sa dauphine.

L’avocat de Geneviève de Fontenay a demandé la condamnation de la plaignante pour procédure abusive.

Le tribunal rendra son jugement le 13 mars.

François Revilla, édité par Gilles Trequesser